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Recit X : Récit sexe d un plan cul dans les wc

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    Recit X : Récit sexe d un plan cul dans les wc

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    wc pipe sodo

    Hello

    Je vais vous raconter une anecdote qui m’est arrivée la semaine dernière quand j’étais avec mon copain, Je suis avec lui depuis maintenant 3 ans et on se connaît bien, surtout sexuellement ; on a souvent les mêmes envies, au même moment ! J’ai oublié de me décrire, je m’appelle Bénédicte, Béné pour les intimes, je suis une blonde, fausse blonde aux yeux noisettes, assez fine mais avec des formes assez sexy, une jolie poitrine et un joli fessier ; mon mec lui, âgé de 25 ans, est un pur méditerranéen, brun aux yeux marrons, de taille moyenne et super séduisant.

    L’histoire se situe en plein centre ville donc, nous avions décidé de descendre en ville pour mon shopping mensuel, nous voilà donc, les bras chargés de paquets, car je ne fais pas les choses à moitié en train de dévaliser les boutiques. Ce jour là, je portais une petite jupe en simili laine, et un pull assorti, avec aux pieds des talons. Maquillage et coiffure parfaite, j’avais en effet envie d’allumer mon mec dès le début de la journée, et cela marchait car il ne fallut pas dix minutes avant qu’il ne me chuchote à l’oreille qu’il avait envie de me baiser. Mais il fallait attendre, hélas pour lui ! Nous continuons les boutiques quand je tombais nez à nez avec un ensemble que je rêvais d’acheter il y a quelques semaines ! Seul problème, je n’avais plus un seul euro en poche après ma matinée en ville. J’étais dégoûtée et comme d’habitude j’ai fait ma gamine gâtée pour obtenir ce que je voulais. Mon mec refusait de me l’offrir, quel toupet ! J’ai donc glissé à mon oreille ce que je pouvais lui faire ; il me demanda quand.

    « quand tu veux ! »

    Alors il sortit son portefeuille et me paya l’ensemble que je voulais ; quelle chance j’avais de tout pouvoir avoir avec mon charme et mon petit cul surtout. Je sortais en souriant, encore plus chargée, et nous décidions de revenir à la maison. Mais, en bon coquin qu’il est, Mon copain me glissait à l’oreille qu’il voulait baiser de suite. Qu’il n’attendrait pas le retour à la maison.

    « ou veux tu aller ? On va pas aller à l’hôtel ?? »

    Et là, il me désigna tout simplement un Wc public, planté en pleine rue, le genre de WC automatique qu’on trouve encore dans les grandes villes ! J’étais obligée de m’exécuter car j’avais promis ! N’ayant pas froid aux yeux, je l’entraînais dans le wc. Nous entrions et nous découvrions un lieu exigu, qui sentait vraiment mauvais, les vapeurs d’urine et du reste. Absolument rien de sexy et de motivant. Il y avait plein de pisse sur la cuvette, et le précédent avait laissé un joli colis dans les toilettes, sans tirer la chasse. j’avais envie de vomir. Aussitôt mon chéri défit son pantalon, et sortit sa queue. Elle était déjà dressée et de bonne facture, car il a plutôt une grosse bite bien large. Il m’appuya la tête pour que je me baisse, mais je n’osais m’accroupir car je voulais éviter les flaques de pisse par terre ; je me débrouillai donc pour me tenir à la bonne hauteur et je pris son sexe en bouche, comme je sais faire. Je commençais à lui lécher le gland, bien comme il faut pour le faire bien durcir, puis je commençais à lui lécher la bite de haut en bas, sans la prendre pour le moment entièrement. Je léchais aussi ses couilles, mais il me forçait à le sucer plus profondément encore, me voilà donc à lui faire une gorge profonde, j’avais sa queue plein la bouche et avec les odeurs j’hésitai entre l’excitation et l’envie de vomir. Il m’appuyait encore plus la tête et j’eus un haut le coeur, une fois ma bouche collée à ses couilles. J’avais jamais vécu ça avant, mes yeux me piquaient, et il me mit une petite gifle pour me récompenser…

    Quand il finit de me limer les lèvres, il me souleva et me poussa contre une paroi, celle qui était la porte des toilettes ; là, sans ménagement il souleva ma jupe et se trouvait face à mes collants. Mais il était tellement excité qu’il n’attendit pas davantage, il déchira mes collants et se retrouva face à mon petit cul bien rebondi ; en effet, quand j’ai des collants, j’ai rarement de culotte, et il le sait très bien. Il glissa un doigt dans ma chatte, et le ressortit trempé, avant de me le faire sucer. Puis, il présenta sa bite devant mon collant déchiré, ouvrit mon cul, et s’enfonça à l’intérieur. Je me mis à crier de douleur, car je pensais qu’il allait me baiser la chatte!!Une autre gifle me calma direct ! Il pénétra mon cul, doucement doucement jusqu’à ce que sa queue soit complètement à l’intérieur. J’hurlais de douleur car elle était trop grosse pour mon petit cul peu préparé, mais il n’en avait que faire et il cracha sur sa queue pour un peu la mouiller, avant de commencer à me limer. Il prit mes hanches dans ses mains et il commença à m’enculer sans ménagement. Je tapai sur la porte, de douleur tout d’abord, puis la douleur s’estompa comme d’habitude et je commençais à prendre mon pied, comme une bonne chienne que je suis. Sa queue me déchirait et je savais que j’allais avoir du mal à m’asseoir durant une bonne semaine… tant pis j’avais eu mon ensemble, après tout ! Je serrai donc les dents et je me recevais ses coups de boutoir sans piper mot, j’avais des larmes aux yeux mais je me retournai en lui disant que j’en voulais davantage !

    Il m’encula durant trois bonnes minutes et je le sentis venir dans mon cul ; il gémissait de plus en plus et soudain, il lâcha sa purée dans mon cul. Je sentis son jet pénétrer mon intimité, j’étais pleine de foutre… Il se retira et s’essuya la queue sur mes collants, avant de me donner une bonne tape sur le cul pour me féliciter. J’étais complètement sonnée, et lui riait de me voir ainsi. Dans cet état. Il avait vraiment été brutal, même si j’avais mérité ce sevice. Nous sortions des toilettes, et là, nous nous trouvions face à 4 personnes, un couple et deux nanas qui nous regardaient. On pouvait lire dans leurs yeux incompréhension, peur, surprise ou tout simplement une envie de rire énorme !

    « ça va madame ? Vous allez bien ? »

    je répondis tout simplement.

    « oui, excusez nous, je viens de me faire enculer, mais vous pouvez entrer, la place est libre »

    Et nous partions, en riant, devant les passants médusés. Voilà donc comment j’ai payé mon ensemble, j’avoue que je me rappellerai toute ma vie de cette expérience, surtout en passant devant ce toilette chaque jour en allant bosser !

    Bisous à tous !

tel rose voyeur

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Bénédicte

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